Comment travailler son mental ? Pour travailler son mental, il est important d’éliminer ses blocages, d’apprendre à gérer ses émotions et de renforcer sa résilience.
Selon la vision de l’Académie de la Haute Performance, il est d’abord important de voir ce que vous mettez derrière la notion de mental.
Pour nous, il ne s’agit pas de vouloir être plus fort, faire plus, ou être encore plus déterminé. C’est une erreur si vous voyez le mental ainsi, tout simplement parce que là, vous allez à contre-courant.
A l’Académie de la Haute Performance, vous allons voir que le mental n’a pas besoin d’être développé. Bien au contraire, l’important est de plutôt le lâcher pour pouvoir avoir accès à la force. Vous allez ainsi éviter d’être dans du :
- j’ai envie de faire ça ;
- il faut que je fasse ça ;
- et je veux être motivé.
Ce sont juste des symptômes que vous êtes en dehors de votre système de priorité intrinsèque. Vous serez donc déconnecté de qui vous êtes réellement.
Et quand vous êtes connecté à vous-même, naturellement vous allez pousser. L’objectif de dire que vous allez pousser, pousser, pousser, est réellement important pour vous.
- 1 L’abandon : un changement de priorité
- 2 Pourquoi travailler son mental ?
- 3 Quelles règles pour développer un mental d’acier ?
- 4 Comment utiliser le pouvoir du cerveau pour développer son mental ?
- 5 Références
L’abandon : un changement de priorité
Si vous abandonnez (alors, nous n’aimons pas utiliser ce mot car pour nous c’est plutôt un changement de priorité), c’est simplement que l’objectif principal n’était pas assez important pour vous.
Supposons par exemple que nous faisons une course, un semi-marathon par exemple et qu’à un moment donné, nous disons : « stop, je ralentis ». C’est à ce moment-là que nous venons de changer de priorité. Nous avons choisi comme priorité d’être dans le mieux-être plutôt que de pousser et d’être dans le mal-être.
Cela rejoint ce que dit Timothy Gallwey dans ses livres « golf et concentration » et après « tennis et concentration ».
Il parle beaucoup du moi numéro 1 et moi numéro 2 dans ses livres. Et quand nous disons lâcher le mental, ça fait penser à lâcher notre moi numéro un qui veut contrôler.
Pourquoi travailler son mental ?
Il est important de travailler son mental au tennis ou dans d’autres disciplines sportives parce que justement nous allons voir que les athlètes qui sont à haut niveau voudront souvent :
- aller plus loin ;
- aller plus vite ;
- être plus forts ;
- et battre leur record personnel.
Mais ça justement, ce n’est que mental. Vous n’êtes donc en train d’utiliser qu’une seule partie de votre potentiel qui est le conscient. Sauf que vous avez le conscient d’une part et le subconscient d’autre part.
Le subconscient est ce qui est en dessous de la conscience. Et ça, c’est la partie qui va :
- faire battre votre cœur ;
- vous faire respirer ;
- vous faire digérer ;
- réguler votre température.
Si là, les gens veulent disent, « ah mais moi je vais travailler mon mental, je vais arrêter mon cœur », nous allons leur dire, « vas-y t’inquiète, nous allons voir qui va gagner entre je vais arrêter mon cœur et ce dernier qui continue à battre ».
Par contre, si au lieu de le développer, vous apprenez comment lacher le mental pour accéder à votre force, à cette partie subconsciente, alors automatiquement, ce sera beaucoup plus simple de performer.
- d’un seul coup boum, tu te connectes ;
- et donc il n’y a plus d’interférences entre le conscient et le subconscient, entre le mental et le corps.
C’est exactement ce que Timothy Gallwey dit dans le livre. Vous allez faire confiance à cette intelligence qui l’est assez pour :
- faire battre votre cœur pendant que vous dormez ;
- vous faire respirer pendant que vous dormez ;
- vous faire digérer.
Apprenez comment exploiter pleinement votre potentiel en lisant l’article technique d’optimisation du potentiel.
Quelles règles pour développer un mental d’acier ?
Déterminez vos priorités
Déjà, nous vous demanderons de vous poser la question suivante : en relation à quoi vous avez envie de devenir fort mentalement ? Par rapport au sport ?
Est-ce que le sport est réellement important pour vous ? Est-ce que vous n’avez pas d’autres priorités ? Qu’est-ce qui fait que vous avez envie de faire du sport. Est-ce que vous le faites juste pour le regard des autres, pour qu’ils vous perçoivent comme fort ?
Si c’est le cas :
- c’est juste un symptôme que vous êtes désaxé ;
- et vous allez forcer puisque ce n’est peut-être pas fait pour vous.
En effet, vous le faites pour une mauvaise raison.
Vous avez déjà un bon mental
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A quelqu’un qui veut développer son mental :
- déjà nous lui montrerons qu’il l’a sous la forme où il l’entend, mais ne le voit pas ;
- et puis nous allons faire une dépolarisation inversée.
La première chose pour développer votre mental est déjà de préciser, par rapport à qui ou à quoi vous percevez que vous n’avez pas le mental. En effet, si vous percevez que vous n’avez pas le mental, c’est essentiellement en comparaison à quelqu’un d’autre.
Ensuite, vous allez voir sous quelle forme naturellement, vous continuez et si le fait de changer d’objectif n’est pas important pour vous. Après, vous aurez votre priorité.
Si nous prenons un athlète qui croit qu’il n’a pas le mental. Ce dernier, il l’a mais il se dit juste : « il faut que je sois humble dans la vie ». Il en fait sa priorité, plutôt que de gagner, ce qui fait :
- que sa priorité va être influencée par l’environnement ;
- et que forcément, à ce moment-là, il va forcer pour gagner.
Quand il se dit, « il faut être humble », et bien c’est la première priorité qui a été injectée de l’extérieur. Le subconscient va donc vouloir être humble et ne va pas vouloir gagner.
Ça ne sera plus prioritaire pour lui d’être accepté plutôt que de gagner.
Il est toujours possible de changer cette mentalité. Vous trouverez dans notre article comment travailler son mental sportif toutes les techniques dont vous aurez besoin pour atteindre le sommet, sans baisser les bras et le moral.
Comment maîtriser son impulsivité ?
Pour travailler son impulsivité, nous allons sur la dépolarisation. Vous découvrez cette approche pour la première fois ? Lisez la page dépolarisation sportive pour savoir en quoi elle consiste.
Nous allons chercher quel est le déclencheur ? C’est-à-dire qu’est-ce qui fait que là paf, le corps part avant la tête ?
Vous savez que vous êtes polarisé, donc c’est le corps qui part avant la tête. Et vous savez que vous êtes dépolarisé quand c’est l’intelligence qui se sert du corps.
Ensuite, nous allons faire une dépolarisation classique à ce moment-là. Nous allons vous demander de quoi avez-vous peur concrètement si vous perdez ?
Généralement, vous direz : « j’ai peur d’être perçu comme nul ». Nous allons donc faire une dépolarisation classique sur la nullité.
Souvent, notre cerveau reptilien réagit beaucoup plus vite que notre cerveau pré frontal. Par exemple, si quelqu’un vous fait « Bou », vous allez réagir sans réfléchir à qui est-ce qui veut devenir.
D’ailleurs, nous connaissons quelqu’un qui est connu pour être très impulsif. Pourquoi ? Parce que justement il a peur du regard des autres. Il en est tellement terrifié qu’il devient hyper impulsif sur le terrain.
Comment éviter de se comparer aux autres ?
La dépolarisation inversée est ce qui est recommandée pour arrêter de se comparer aux autres. En fait, quand vous faites du sport, vous êtes souvent en train de vous demander :
- Comment est l’autre ?
- Et est-ce que moi je suis mieux ou moins bien ?
Vous êtes constamment en train de vous exagérer ou de vous minimiser. Et dès que vous vous exagérez ou vous minimisez, vous vous empêchez d’être vous-même. Avec ça, il y a les dépolarisation classique et la dépolarisation inversée que vous pouvez retrouver dans le livre :
- la première permet d’arrêter de s’exagérer ;
- et la seconde permet d’arrêter de se minimiser.
A la fin, quand nous accompagnons par exemple un sportif pour des Jeux olympiques, nous allons lui dire :
- prends tous tes concurrents, que tu perçois numéro un ;
- et tu fais une dépolarisation inversée sur chacun.
Tu pourras ainsi voir qu’il ne te manque rien. Ils n’ont rien de tout ce que tu as , mais toi t’es comme tu es avec tes talents”.
Comment mettre fin aux critiques internes ou aux émotions négatives ?
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C’est justement quand vous apprenez à reconnaître sous quelle forme vous exprimez ce que vous admirez chez les autres, que vous arrêtez de vous comparer à eux.
Vous avez de l’auto flagellation avec des phrases comme :
- j’ai loupé la balle ;
- je suis trop nul ;
- je devrais faire mieux ;
- il faut que je fasse mieux ;
- je suis vraiment pourri ;
- pourquoi je m’entraîne autant.
Dès que vous avez ce genre de discours négatif où vous vous flagellez, c’est simplement parce que vous vous comparez à quelqu’un d’autre. Ceux qui travaillent avec l’Académie de la Haute Performance, naturellement ou après quelques dépolarisations, arrêtent de se parler et de se flageller.
Les gens qui se flagellent sont le plus souvent les plus exposés aux risques d’échec en sport. Vous êtes actuellement dans cette situation ? Alors trouvez les solutions pour rebondir en consultant l’article échec sportif.
Comment utiliser le pouvoir du cerveau pour développer son mental ?
En fait, dans le mental, il y a le cerveau. Schématiquement, il y a 2 parties :
- la partie basse du cerveau qui est la zone automatique ;
- et la partie haute du cerveau qui est la zone intelligente, qui réfléchit notamment avec le cortex pré frontal qui est juste devant.
Et donc si vous voulez développer un mental d’acier, l’important est déjà d’arrêter d’être en mode automatique. En d’autres termes, il y a quelque chose :
- qui arrive, une perception qui arrive à vos yeux ;
- et qui entraîne une réaction corporelle que vous ne maîtrisez pas.
Apprendre à maîtriser votre mental, c’est donc de détecter à chaque fois que le corps passe à l’action. Il peut par exemple réagir à cause de la peur du regard. Dans ce cas, soit le corps se verrouille, soit il passe à l’action.
Et bien, à ce moment-là, vous allez faire une dépolarisation inversée. Vous allez ainsi pouvoir accéder de plus en plus à la partie haute du cerveau plutôt qu’à la partie basse.
Cette dernière, nous en avions eu besoin quand nous étions encore dans la jungle, en mode proie ou en mode prédateur.
L’amygdale est déclenchée dès que nous percevons plus de gains que de pertes ou plus de pertes que de gains. La dépolarisation va justement servir à équilibrer ça pour repasser dans le cortex pré frontal et donc :
- accéder à la vision, l’inspiration, la stratégie ;
- et être vraiment centré et focus sur notre objectif.
N’hésitez pas à lire le guide comment développer sa force mentale pour encore plus de conseils à ce sujet.
Comment trouver une source de motivation saine ?
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En général, la préparation mentale classique va essayer de motiver les gens. Ils vont ainsi se dire :
- il faut que je sois plus motivée ;
- je dois plus me motiver.
L’objectif est de motiver les gens alors que justement, source de motivation saine, c’est un oxymore. Pourquoi ? Parce que dès que vous avez une source de motivation saine, dès que vous recherchez de la motivation, alors « ce n’est pas sain ».
Déjà, nous allons définir ce que c’est le « sain » dans notre langage. Ainsi, le « sain » c’est toute chose :
- qui est en accord avec notre système de valeurs ;
- et pour laquelle nous sommes naturellement inspirés.
Que se passe-t-il si vous cherchez une motivation ?
Vous pensez souffrir d’un manque de motivation ? Dès que vous essayez de trouver de la motivation et bien vous allez chercher une motivation extérieure. Vous allez vous dire : « il faut que je fasse ça pour avoir ça ».
Dans ce cas, vous allez être dans l’illusion de la perte du gain. Vous serez dans l’illusion que quand vous aurez ceci ou cela, vous serez plus heureux.
- vous êtes plus dans le moment ;
- et vous apprécierez plus ce que vous faites.
Quand vous êtes en recherche de motivation, vous allez vous dire : « je veux avoir ça pour faire plaisir à un tel ». Vous le faites pour avoir sa reconnaissance.
Quand nous cherchons la motivation externe, nous perdons notre drive intrinsèque, ce qui nous fait vraiment vibrer.
Que se passe-t-il avec un athlète dépolarisé ?
La motivation est un oxymore par rapport à être sain, alors qu’être sain, c’est connecté à notre inspiration.
Et justement, c’est qui est intéressant. Parfois nous allons voir des gens qui vont :
- vouloir aller à l’entraînement ;
- et donc chercher une motivation pour aller à l’entraînement.
Ils iront à l’entraînement pour vous rassurer parce qu’ils ont peur de ne pas être à la hauteur. C’est malsain de chercher la motivation là-dessus parce que c’est juste un symptôme pour dire : « attends mon pote, il y a quelque chose de plus important pour toi ».
Nous faisons cela régulièrement à Académie de la Haute Performance avec les athlètes. Et c’est fantastique de voir les résultats. En effet, ils s’autorisent eux-mêmes à se dire.
Ces athlètes vont se dire : « tu sais quoi, là je sens que je n’ai pas besoin d’aller m’entraîner, je suis bien, je suis prêt, je ne vais pas y aller ». Et le lendemain, il s’entraîne tranquillement.
Pour ceux qui se sont entraînés des milliers d’heures avant, leur corps sait ce qu’il a à faire. Il vaut mieux louper un entraînement et être au taquet plutôt que de se surentraîner et d’accumuler de la fatigue sur le long terme.
Vous voulez approfondir un peu plus ce sujet de la motivation. Il vous suffit de lire la page comment rester motivé.
Comment faire la distinction entre s’entraîner par peur de ne pas être à la hauteur et le besoin de s’entraîner plus ?
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Vous le savez, si vous vous questionnez. Vous allez à l’entraînement, mais que vous ne savez pas trop si c’est nécessaire parce que vous êtes un peu fatigué ?
Nous vous recommandons de vous poser et de vous demander :
- « OK le moi qui est champion, est-ce qu’il va à l’entraînement ?
- Si j’étais sûr à 100 % d’être champion, est-ce que j’irais à l’entraînement ?
- Est-ce que ça m’inspire d’aller m’entraîner ou pas ce soir ?
- Est ce que si je vais m’entraîner là, c’est parce que j’ai peur de ne pas être à la hauteur ? »
Pour pouvoir y arriver, il est important de bien se connaître car :
- plus vous vous connaissez ;
- plus vous apprendrez à reconnaître les signaux du corps ;
- et plus vous pourrez vous autoriser ou pas à aller ou pas à un entraînement.
Comment travailler son mental en renforçant sa confiance ?
En travaillant la confiance en soi en sport, vous saurez qui vous êtes et vous n’aurez pas besoin de preuves pour cela. En ayant de l’assurance sur qui vous êtes :
- vous ne vous soucierez plus de ce que les autres pourraient penser de vous ;
- et donc vous allez être connectés à ce dont vous avez réellement envie.
Naturellement, dès que vous êtes connecté à ce dont vous avez réellement envie, automatiquement, vous êtes persévérant. Pourquoi ? Tout simplement parce que vous :
- êtes dans votre priorité intrinsèque ;
- êtes persévérant et vous êtes « discipliné » ;
- et serez vraiment être au taquet et perçu par l’environnement comme quelqu’un qui a du mental.
Alors que non vous n’avez pas plus de mental que les autres. Vous êtes juste connecté à ce qui vous inspire. C’est pour ça que vous devenez inarrêtable en fonction de ça parce que vous êtes connecté.
Si vous avez tout au monde, alors vous continuerez de faire ce que vous faites. Dès que vous avez confiance en vous, vous allez vous autoriser à être connecté à ça. Et si les autres vous jugent, cela ne vous affectera pas et vous vous direz que c’est leur problème.
Comment améliorer son mental par la gestion du stress ?
Il s’agit encore une fois de déterminer : s’il stresse, c’est pourquoi ? Stresser, c’est normal. Lorsque vous arrivez en compétition, il est tout à fait naturel de stresser. C’est le signe que votre corps se prépare à passer à l’action, à avoir la pression.
Apprenez à gérer la pression en compétition en lisant cet article.
Quelqu’un qui veut développer son mental par la gestion du stress, réussira justement quand il va :
- tout dépolariser ;
- et avoir confiance en lui.
Il se dira :
- « si je perds, ce n’est pas grave car il y aura des bénéfices à long terme ;
- tout ce qui m’arrive ici, c’est pour me faire grandir ;
- si je gagne, ça va me faire progresser et si je perds, ça va me faire aussi progresser ;
- je suis détaché du résultat donc forcément le mental va s’atténuer.
Par contre, plus vous allez justement gérer le stress et vous dire, « que je gagne ou que je perds, je vais gagner à long terme », et plus vous allez naturellement sortir de ce stress qui est inutile.
Un bon moyen de gérer le stress c’est aussi de programmer son mental par rapport à l’enjeu de la compétition. Il s’agit de prévoir et d’analyser tous les scénarios possibles pour être prêt à tout. Rendez-vous à la page programmation mentale pour en savoir plus à ce sujet.
Et voilà, nous touchons à la fin de cet article !
Si vous êtes prêt à aller plus loin grâce à la Dépolarisation® pour devenir confiant et serein en compétition, profitez de votre entretien offert ici.
On fera un diagnostic d’où vous en êtes aujourd’hui, où vous voulez aller, ce qui vous empêche d’y arriver pour l’instant et comment exploser vos blocages pour y arriver !
Et rappelez-vous, l’important n’est pas ce que vous faites mais qui vous devenez.
Avec inspiration,
L’équipe de l’Académie de la Haute Performance
Références
https://blog.calm.com/blog/9-ways-to-train-your-mind
https://www.betterup.com/blog/what-does-it-mean-to-be-mentally-fit
https://restoic.com/blogs/blog/learn-how-to-train-your-mind-like-a-pro-athlete
https://www.realbuzz.com/articles-interests/sports-activities/article/mental-strength-in-sports/
https://www.donovanmentalperformance.com/5-tips-to-mental-toughness-in-sports
https://www.today.com/health/how-be-mentally-tough-4-lessons-sports-psychologists-t42916
Pierre David
Pierre David est consultant professionnel spécialisé dans le coaching en entreprise et sportif. Avec une expérience poussée en développement personnel, cet ancien sportif de haut niveau (Vice-champion de France en Savate Boxe Française Elite A 2015) a coaché de nombreux médaillés olympiques et sportifs de haut niveau tels que Gwendoline Philippe, Mathilde Armitano, Anastasia Urbaniak, Alexandre Henrard. Sa formation comprend des certifications en coaching (Docteur John Demartini 2019, Institut SANE 2018-2019), hypnose (École Centrale d’Hypnose 2015-2016) et neurosciences (Institut des Neurosciences 2015-2016). Fondateur de l'Académie de la Haute Performance, il a développé la technique de Dépolarisation et il est l'auteur de 3 livres sur la préparation mentale et l'entreprenariat : L'Identité Gagnante (2020), "L'entrepreneur Gagnant" (2022). "Préparation Mentale Gagnante" (bestseller, édité chez EYROLLES 2023).